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Développé par Evolution Studios pour Sony, DriveClub devait être, au départ, un jeu de « lancement » de la PlayStation 4, et donc, sortir en même temps qu’elle.
On nous y promettait du social en pagaille, l’accent étant mis sur le jeu en multi, les défis, la création de clubs, etc., sans pour autant sacrifier la partie solo. Un nouveau jeu pour une nouvelle console, vitrine de ses capacités techniques.

Finalement, le jeu n’est sorti qu’en octobre dernier, soit avec un an de retard sur le planning prévu, et on attend toujours la version gratuite pour les membres du PS+, en suspens depuis le lancement du jeu pour une sombre histoire de serveurs. Notons que cette dernière empêche également l’utilisation du Companion App Android et iOs.
Question vitrine de lancement d’une nouvelle console, c’est donc parfaitement raté.
Est-ce qu’au moins le jeu tient ses promesses en terme de social et de gameplay et de graphismes ? Kiki et Simone ont mené l’enquête.

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Kiki, voilà ta Mini !

 

En voiture Simone, Kiki conduit, toi tu klaxonnes. Et pour conduire, Kiki a trois possibilités : le mode solo, le mode challenge, et le mode multijoueur.

Le mode solo est une vaste liste d’épreuves, divisée en niveaux, dont chacun se termine par un championnat.
Chaque épreuve propose des objectifs à remplir, et le joueur gagne une étoile par objectif complété. Vous allez me demander : « mais des étoiles, pour quoi faire ? » Et bien tout simplement pour débloquer le niveau suivant. En effet, pour passer d’un niveau à l’autre, deux conditions doivent être remplies : atteindre un certain palier d’étoiles, et finir au moins troisième au championnat de fin.
Les objectifs à atteindre sont très classiques : finir dans les trois premiers, finir premier, faire tel temps au tour, atteindre telle vitesse, etc.

DriveCLub liste objectifs
Cherchez l’intrus

 

Les courses sont de natures diverses (mais pas trop non plus), la différence principale se faisant au niveau des voitures que vous êtes autorisé à piloter. Il ne sera pas rare de rencontrer plusieurs fois le même tracé à l’identique, mais une fois, vous ne pourrez y conduire que des voitures anglaises, une autre fois, que des allemandes, une autre encore, un autre type de voiture… Vous avez saisi l’idée.

Au fil de vos aventures sur l’asphalte, vous allez engranger de l’expérience sous forme de points de renommée : ces derniers s’acquièrent lorsque vous driftez, lorsque vous faites un segment de la course « proprement », c’est-à-dire sans sortir de la route et sans collision, lorsque vous profitez de l’aspiration des concurrents, etc.
Cette expérience vous permet de gagner des niveaux, et, ce faisant, vous débloquez ainsi de nouvelles voitures ou de nouveaux designs pour personnaliser les carrosseries.

DriveCLub bienvenue à kikiland
Bienvenue à KékéLand.

 

Des objectifs facultatifs parsèment les tracés, pour peu que votre console soit connectée à Internet. Eux ne rapportent pas d’étoiles, mais des bonus d’expérience. Ces objectifs vous demanderont de battre les records d’autres joueurs sur des tronçons précis de la course : faire un drift valant au moins X points de renommée, avoir une vitesse moyenne de plus de X km/h sur une courbe, suivre le tracé le plus parfait possible sur une certaine distance, etc.

Enfin des DLC (payants hihihi, même si certains ont été offerts gracieusement pour faire pardonner le lancement chaotique du jeu) ajoutent des épreuves et des voitures.

DriveClub beytwice logo
Quelle classe, quel bon goût !

 

Jusque là, du très classique, pas de quoi grimper aux rideaux, mais le plus important dans un jeu de voiture, c’est la sensation de conduite : est-ce qu’on sent bien la vitesse, la différence entre les voitures ?
Et bien… Pas vraiment. Les voitures sont différentes, et entre deux modèles de catégories différentes, mettons, une Mini et une Ferrari, on va quand même sentir qu’on est pas sur le même genre de voitures.
Mais entre deux Ferrari, ou deux Audi, ou tout simplement entre deux voitures qui jouent à peu près dans la même cour, on ne voit pas trop la différence, ni dans l’accélération, ni dans le freinage, ni dans les virages. On ne sent même pas les variations entre les propulsions, les tractions et les quatre roues motrices. Et ce, malgré des statistiques qui apparaissent pourtant peu semblables dans le menu, au moment du choix du véhicule.

DriveClub face off
Beyoncé rocks

 

En plus, on ne sent pas tellement non plus le poids de la voiture, alors qu’entre une Mini John Cooper GT et une Bentley Continental GT, il y a quand même une différence du simple au double. Ça devrait se ressentir dans le pilotage. Et béh nin !
Du coup, sans trop sentir le poids de la voiture, ni son inertie, c’est parfois un peu compliqué d’anticiper le comportement de votre véhicule en courbe serrée ou sur un freinage un peu sec (comprendre : votre voiture se met à glisser ou refuse de tourner sans que vous ne sachiez pourquoi).

DriveClub conditions extrêmes
Il pleut, il pleut bergèèèère…

 

Quant à la conduite en elle-même, le jeu nous propose un équilibre entre arcade et simulation : la prise en main se fait assez rapidement, mais le jeu tente de nous forcer à une conduite précise et à des trajectoires étudiées pour gagner les courses ou remplir les objectifs.
Malheureusement la façon dont c’est implémenté dans le jeu enlève tout le fun de l’arcade et tout l’intérêt du pilotage précis.

En effet, le jeu vous pénalise chaque fois que vous touchez quelque chose (une autre voiture, un mur…) ou dès que vous mettez un bout de pneu hors de la route. On est bien d’accord que le but du jeu n’est pas de rebondir de rail de sécurité en rail de sécurité jusqu’à la ligne d’arrivée, mais perdre des points de renommée juste parce qu’on a un peu mordu dans un virage, ou parce qu’on a frôlé un rocher, bon… C’est un peu moyen.

DriveClub menu championnat
Hou, tout plein d’étoiles à gagner… Et de DLC à acheter.

 

Pis encore, si vous ratez un virage et que vous cognez un peu trop violemment, le jeu vous inflige une pénalité de collision : votre voiture n’accélère plus pendant quelques secondes. La double peine, en somme. Voire la triple peine : vous ratez le virage, donc vous perdez des points de renommée, vous perdez du temps, et vous en perdez encore plus parce que le jeu vous punit par dessus.
Comme c’est fun ! Comme on s’amuse ! Ho ! Ho ! Ho ! Vas-y, fouette-moi, j’aime ça !

Comme en plus le comportement des voitures est un peu incohérent, notamment sur l’usage du frein à main et du contre-braquage, ça devient vite un peu pénible leur affaire, d’autant que le jeu ne vous récompense pas tellement de votre trajectoire propre : oui, vous allez gagner des points de renommée, mais au chrono ? Entre un mur tapé juste ce qu’il faut une fois que vous avez mémorisé la gestion des collisions complètement foireuse et un virage en drift, le coup dans le mur gagne presque à chaque fois.

DriveClub Foule
La foule en délire et en t-shirt sous la pluie. Normal.

 

Il faut noter également que malgré tous mes efforts, je n’ai jamais réussi à retourner ma voiture, ni à lui faire faire des tonneaux, et provoquer un tête-à-queue via une collision par l’arrière relève de l’art mystique, preuve que la physique du jeu est quand même un peu légère.

Le pilotage est donc un ni tu, ni vous, qui enlève le plaisir qu’on peut avoir à faire un peu n’importe quoi dans une conduite arcade, mais qui ne vous récompense pas trop d’avoir refait trois-cents fois un tracé pour trouver la trajectoire et la vitesse parfaites d’une courbe.

Et encore, si il n’y avait que ça, une fois intégrée la physique du jeu et un peu d’entraînement, ça aurait presque pu fonctionner.
Mais quand on ajoute l’IA des adversaires au milieu, c’est le DRAME.

DriveClub interieur renault
Au secours, mais vous êtes FLOUS

 

Dans DriveClub, l’IA reste sur la trajectoire optimale tout le temps. TOUT LE TEMPS. C’est-à-dire que si vous êtes en train de doubler juste avant un virage, vous avez huit concurrents qui vous poussent hors de la route pour se mettre à la corde. Parce que YOLO ! Sur les petites routes, comme celles des circuits d’Angleterre, réussir à doubler sans sortir du tracé (et donc sans perdre de points de renommée au passage) tient du miracle.
En fait, l’IA se comporte comme ni vous n’étiez pas là : elle vous pousse par derrière, elle vous pile sous le nez, elle vous défonce par le côté… Mais n’essaie jamais de vous éviter. Par contre, les concurrents, entre eux, ne se touchent jamais, et font rarement des erreurs de pilotage.
Pire encore, cette IA parfaitement stupide ne sait pas prendre un virage rapidement, et a donc tendance à piler juste avant (ou à ralentir plus que de raison dans les épreuves de difficulté supérieure). En contrepartie en revanche, elle roule à tombeau ouvert dans le moindre soupçon de ligne droite, et il ne sera pas rare de voir une voiture, du même modèle que la vôtre, vous doubler, alors que vous avez atteint la vitesse maximale. Parce que… YOLO ?

DriveClub Glacier moche
Ce glacier a quand même une texture suspecte

 

Pour couronner le tout, sachez que c’est un peu pile, je gagne et face, tu perds : si vous percutez une voiture adverse, vous perdez des points de renommée, mais si une voiture vous percute sauvagement… Ben vous les perdez aussi (dans la plupart des cas).
Ho ! Ho ! Ho ! Fouette-moi, j’aime ça, me faire troller par l’IA !
Dans les premiers niveaux, c’est pénible mais gérable, vu que vous prenez rapidement la tête des courses. Mais assez vite, vous aurez très envie de vous arracher les poils du nez (ou d’ailleurs) avec les dents.
D’autant qu’on ne peut pas régler la difficulté de l’IA dans le mode Championnat.
Notons cependant que Paul Rustchynsky (game director chez Evolution Studios) a précisé il y a quelques jours sur Twitter que les développeurs travaillaient à un équilibrage de l’IA.

DriveClub personnalisation icone
C’t’original comme motif.

 

Toute cette souffrance pour monter les niveaux et débloquer quelques voitures (le jeu est assez chiche en récompenses, en fait) et des vinyles pour la carrosserie. Wouh !
En effet, il y a assez peu de voitures, au final, et peu de variété : au moment de ce test, il y avait soixante-cinq véhicules théoriquement accessibles.
Théoriquement accessibles, ça signifie en comptant : les DLC (payants et gratuits), les véhicules à débloquer en faisant monter le niveau de votre Club, et les véhicules à débloquer en montant les niveaux. C’est assez peu, d’autant que la variété n’est pas vraiment au rendez-vous : il n’y a quasiment que des voitures européennes.
Quant à la customisation des véhicules, elle n’est qu’esthétique : foin de réglages de moteur, de suspension, de pneus… Et les possibilités de personnalisation sont, comment dire ? Bienvenue à Kékéland.

DriveClub woman in car
Femme au volant… Bah femme qui conduit.

 

En revanche, même si les possibilités sont limitées, on peut personnaliser son pilote, et même choisir d’être une femme. Et ça, ça ne sert à rien, mais c’est cool. Plus que les vinyles tribaux.

Alors heureusement, il y a aussi, dans le mode Solo, la possibilité de faire des courses uniques. Pour ces dernières, vous choisissez le pays, le tracé, la météo, la voiture, le moment de la journée et même le niveau de l’IA.
Si les problèmes de pilotage et de comportement des voitures restent les mêmes qu’en championnat, la météo ajoute une dimension, au moins esthétique, aux différents circuits. Il est d’ailleurs assez surprenant qu’il ne pleuve jamais en championnat, mais passons.

DriveClub vue arrière
Simone, je crois que j’ai « un peu » touché.

 

Cela dit, si la pluie est très jolie, les voitures ont un comportement un peu étrange sur route mouillée : elles glissent parfois pour rien, mais à d’autres moments vous faites une espèce de courbe parfaite malgré les quatre centimètres d’eau au sol. Non, parce que, soyons honnêtes : qu’une Corsa glisse à 90 km/h dans une épingle à cheveu, c’est tout à fait normal. Qu’une Maserati avec des pneus larges comme quatre fois la cuisse de Jean-Claude Van Damme glisse à 50… C’est fort mystérieux.

Quoi qu’il en soit, ce mode vous permet de faire un peu ce que vous voulez, notamment tester les différents tracés avant de les emprunter en championnat.

DriveClub pluie
Des conditions de conduite idéales !

 

Enfin, bien sûr, il y a celui que vous attendez tous : le mode multijoueur.
Ce dernier a deux avantages majeurs sur le mode solo. En premier lieu, l’IA agressivement stupide est remplacée par de vrais gens, potentiellement moins stupides (même si certains pseudos laissent planer le doute ; jouer contre un gars qui s’appelle « uBEENviol8ed », ça met de suite en confiance), plus faillibles, ce qui rend la partie nettement plus intéressante.  Ensuite, la météo est parfaitement aléatoire, ce qui pimente un peu les tracés, qui sont fort différents, forcément, selon la pluviométrie ou le moment de la journée.

DriveClub multi

Le choix de circuits est équivalent à celui du mode solo. Le système de lobby est un peu pénible en revanche, puisqu’il faut attendre la fin du décompte pour lancer la course, même si la course est complète, et si vous arrivez après la fin du compte à rebours, il vous faut attendre que la course réapparaisse. Ce n’est pas rédhibitoire, mais ça alourdit un peu les parties.

Après, si jouer en ligne est du coup plus agréable que jouer en solo, les problèmes de murs invisibles dans les trajectoires, de voitures aux comportements peu différents, et de conduite au final assez peu amusante, demeurent.

Tant que l’on parle de la partie multi, sachez que vous pouvez créer ou rejoindre un Club. Ces Clubs sont actifs à partir de deux membres, et peuvent en accueillir six au maximum.
Faire progresser votre Club vous donnera accès à quelques nouvelles voitures, mais ça permet surtout de se retrouver entre amis, pour peu, évidemment, que vos amis jouent aux jeux de voitures.

DriveCLub Beytwice
Mesdames, Messieurs : le Beytwice Club.

 

Par contre, il est impossible de créer une course pour y inviter uniquement un ou deux amis, pas plus qu’il n’est possible de jouer à deux en écran splité dans votre salon. Manifestement de nos jours, jouer à plusieurs nécessite de passer par une connexion internet, le contact réel en mangeant des cacahuètes, c’est surfait.

D’un point de vue technique, le jeu n’est pas mauvais (en même temps, après un an de report, heureusement !), même si graphiquement, on prend pas non plus la claque de l’année.
Les effets de pluie et d’eau sont assez réussis, les vues intérieures des voitures aussi, ainsi que la plupart des effets de lumière. De la même façon, il n’y a pas de clipping, ni d’aliasing.
En revanche, certaines textures sont un peu fadasses, voire aux fraises, et la végétation est très irrégulière : parfois très bien modélisée, elle aura à d’autres moments l’air de sortir d’une PS2.

DriveClub arbres ps2
La PS2 envoie des renforts graphiques

 

L’univers sonore est également en demie-teinte : si la musique n’est pas inoubliable, les bruits des moteurs et des pneus sont tout à fait respectables. Alors, on ne peut pas vous certifier que les moteurs font bien les bruits correspondants aux modèles des voitures, mais en tout cas, chaque voiture ou presque a son bruit propre.

Le jeu offre des menus très clairs, organisés de façon relativement épurée, même si quelques paramètres sont un peu pénibles à trouver, et les temps de passage d’un menu à l’autre, tout comme les temps de chargement, sont très raisonnables.

On nous promettait donc un jeu capable d’appuyer le lancement d’une nouvelle console, un jeu censé faire la part belle aux graphismes, à un gameplay tirant le plus possible des fonctionnalités de la machine.
Et on se retrouve avec un jeu qui, même après un report d’un an, même trois mois après son lancement, ne remplit pas vraiment cette promesse.

DriveClub Mini nuit
Le crépuscule est fort romantique, il faut le reconnaître.

 

Il y a des points positifs dans DriveClub, évidemment : les menus rapides, la gestion de la lumière, la modélisation des voitures, de la pluie, et l’accent mis sur le multijoueur. Mais il y a également de nombreux défauts, difficilement explicables, comme l’absence de réglage de l’IA en championnat, l’IA en elle-même, qui fait n’importe quoi et qui pourrit littéralement le mode solo.
On peut également s’interroger sur le manque de variété : des voitures tout d’abord, mais aussi des tracés. On peut comprendre que le jeu n’ait pas eu des centaines de voitures au lancement, vu la modélisation des intérieurs, mais alors, pourquoi tout miser sur les voitures européennes ?
Pourquoi ne pas implémenter un réglage des voitures : suspension, freins, pneus ?
C’est un peu pareil pour les circuits : les décors changent, mais au final, les tracés se ressemblent pas mal.

DriveClub jolie voiture
K2000 2.0

 

On a en fait un jeu qui n’est pas fondamentalement mauvais, mais qui est loin d’être bon, et qui, surtout, n’a pas tellement d’originalité : le gameplay manque tellement de fun, les tracés manquent tellement de folie… Et puis on a une blinde de DLC, qui renforcent encore cette impression de jeu vendu non fini, ou en kit. Et ça, ce n’est jamais très agréable (même si certains DLC ont été mis gratuitement à disposition pour compenser les problèmes au lancement).

Bon Kiki, c'pas encore c't'année qu'on va s'amuser.
Bon Kiki, c’pas encore c’t’année qu’on va s’amuser.

 

Le verdict de Simone et Kiki semblera peut-être un peu sévère, mais au final, DriveClub rate un peu le coche : gameplay plat, IA à la ramasse, peu de voitures, tracés sans saveur… Malgré des efforts sur la modélisation de la pluie et des intérieurs, et malgré un potentiel certain, DriveClub n’arrive tout simplement pas à imposer sa personnalité. 
Si vous avez de nombreux amis qui aiment les jeux de voitures, le mode multi pourra vous faire passer le temps en attendant la prochaine sortie auto.
Si vous aimez le solo en revanche, passez votre chemin.

Tags : DriveClubEvolution StudiosKiki & SimonePS4Sony
Aurigabi

Gentle Geek Aurigabi

Fille de Mary Poppins et Xena la Guerrière, aime se promener dans les bois pluvieux. Avec une console. Ou un comics. Avant que les cylons n’arrivent…

2 commentaires

  1. DriveClub me satisfait largement. C’est un jeu de course arcade qui s’approche beaucoup d’un Project Gotham Racing (sorti sur la première Xbox).

    Évidement, si vous cherchez un jeu réaliste dans le gameplay, orientez vous vers des jeux de simulation comme Project Cars.

    Concernant les dlc, il y a le season pass à moins de 13 € sur le le PSN.

    J’ai trouvé le jeu en occasion pour 14.90 € soit le même tarif que la version PS+…

    Et l’extension Bikes est à 14.90 €, mais je pense qu’elle devrait être bradée (ou promo temporaire) d’ici quelques mois.

  2. On n’a pas dû jouer au même jeu pour l’IA.
    Un test a d’ailleurs été fait pour prouver que l’IA ne réagit qu’à ce qu’on lui fait https://www.youtube.com/watch?v=OKNHjNDhwIo
    Pour faire de bons temps il faut extrêmement bien conduire. Un mode dit hard core ne va pas tardé à sortir.
    Ce jeu a un suivi extraordinaire depuis sa sortie. Combien aurait fait une version 2 vendu plein pot?

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