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Vous n’avez jamais assez de Mass Effect, et vous vous nourrissez de chaque bribe que vous trouvez qui permette d’étoffer son univers ? Les dieux vous ont entendus (ou pas) et vous offrent Mass Effect : Foundation, comics en douze numéros, publié chez Dark Horse Comics.

Au travers de son héroïne, le comics tentera de nous en apprendre un peu plus sur la galaxie. D’après Mac Walters (vous savez, le génial scénariste en chef de Mass Effect 3), plutôt que de créer du nouveau contenu, il semblerait qu’on ait des sujets déjà mentionnés ou aperçus dans la trilogie, mais cette fois traités de façon plus approfondie. Il se pourrait même que des éléments, que nous découvrirons avec le DLC Citadel, soient liés à ceux du comics…

Mass Effect Fondation Cover et page
Couverture par Benjamin Carre, page par Omar Francia

 

Enfin, Walters nous promet une histoire qui se concentre sur les personnages, puisque c’est « ce qu’ils font de mieux », avec la possibilité de voir les personnages du jeu (excepté Shepard), jouer les guests.

Le transmédia, c’est cool, et, en toute honnêté, si on fait abstraction de toutes les promesses non tenues déjà par l’équipe créative de Mass Effect, ça peut être réussi. Mais quand même, attention à ne pas donner l’impression que vous pressez la licence jusqu’à la moëlle, amis de chez Bioware ! 

Aria aussi est dubitative
Aria aussi est dubitative

Via Comic Book Resources

Tags : BiowareMac WaltersMass EffectMass Effect : Foundation
Aurigabi

Gentle Geek Aurigabi

Fille de Mary Poppins et Xena la Guerrière, aime se promener dans les bois pluvieux. Avec une console. Ou un comics. Avant que les cylons n’arrivent…

2 commentaires

  1. L’univers de Mass Effect est si grand, et pleins de pistes ont été lancées pour que Bioware puissent alimenté notre appétit sans avoir la sensation d’usure !

    Il faut aussi y aller plus doucement avec les « promesses non tenues » et les « déceptions » sur la fin de ME3 ! Si l’on considère la création de jeux vidéo comme un art, alors on doit respecter la vison des créateurs. A-t-on deja demander à un auteur de changer la fin de sa pièce car le public n’était pas content ? Même pour les « arts » qui doivent être rentables (comme le cinéma), on a jamais demandé à R.SCOTT de refaire son Prométheus car le public attendait autre chose !
    Oui, moi aussi, à la fin de ME3, j’ai été un peu séché, mais c’est pas pour autant que j’ai râlé contre Bioware (je ne vise pas l’auteur de l’article, mais des centaines d’hargneux gamers qui ont demandé à Bioware de revoir la fin de la saga)

  2. « Promesses non tenues » fait aussi référence à Omega par exemple, qui est loin d’être tout ce qu’on nous avait promis.
    C’est aussi dû au fait que, que l’on aime ou pas la fin, elle ne correspond pas à tout ce qui avait été dit en amont par Hudson, Gamble et Walters, entre autres. (exemple : « vous n’aurez pas besoin de jouer au multijoueur »…)
    Quant à changer la fin, ça s’est déjà vu dans d’autres arts, comme le roman, où Dickens avait changé la fin d’une de ses oeuvres en son temps, mais ce n’est pas le sujet ici.

    Que l’on respecte le travail d’une équipe n’empêche pas de souligner qu’elle a pu nous prendre, nous, spectateurs et consommateurs, pour des imbéciles, quelles que soient les raisons : par exemple, même si on a aimé la fin, il faut quand même reconnaître qu’elle n’était pas complète, l’extended cut aurait dû être dans le jeu d’office.

    Et, un peu de la même façon, si on a trouvé que la fin trahissait l’esprit du jeu, on peut, du coup, être méfiant pour la suite…

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