Quarante deux ans après sa première apparition dans Adventure into Fear #19 (décembre 1973), le canard le plus badass de l’univers Marvel revient dans une nouvelle série rien qu’à lui. Scénarisé par Chip Zdarsky et dessiné par Joe Quinones, le premier numéro est sorti le 11 mars. (suite…)
Au mois de juin, l’univers DC prendra un (nouveau) nouveau départ à la suite du super évenement Convergence. Exit les New 52 établis depuis septembre 2011, place à une nouvelle ligne créatrice pour l’éditeur et ses personnages. Et ça commence avec une étape extrême makeover pour tout le monde dès le mois de juin. (suite…)
À l’occasion du 41e festival international de la bande dessinée d’Angoulême, Panini Comics propose une édition spéciale du premier numéro US d’Original Sin, le dernier gros event en date dans l’univers Marvel. L’occasion faire (re)découvrir le talent de Mike Deodato Jr, invité d’honneur de Panini à Angoulême, au public français.
Original Sin c’est le nom du nouveau crossover de Marvel Comics, scénarisé par Jason « Scalped » Aaron et Mike « Thunderbolts » Deodato Jr. Le pitch : Uatu le Gardien, après 52 ans de bons et loyaux services à mater les héros de la Terre en train de se sortir des situations les plus pourries sans jamais intervenir (depuis Fantastic Four #13 en avril 1963 pour être précis, ça nous rajeunit pas), est retrouvé assassiné, les yeux arrachés. Le problème, c’est que dans ses yeux sont stockés les pires secrets de nos héros, le genre qu’il vaudrait mieux ne jamais révéler. S’ensuit donc une course contre la montre impliquant un paquet de personnages à la recherche du meurtrier. Et on nous le promet : ça va (encore) marquer en profondeur l’histoire de l’univers Marvel.
Sorti aux États Unis l’année dernière en huit épisodes principaux accompagnés de la désormais habituelle pléthore de tie-in plus ou moins dispensables, Original Sin est édité en France par Panini Comics sous la forme de quatre numéros mensuels réunissant chacun deux épisodes US. À l’occasion du festival d’Angoulême, Panini a proposé une édition limitée du premier épisode de la série sous la forme d’une artist edition en noir et blanc. Exit donc les couleurs de Frank Martin (sans rancune Frank), place à une version épurée qui sublime merveilleusement les jeux d’ombres et de lumière de Mike Deodato Jr. On a rarement autant eu l’occasion d’apprécier le talent, pourtant immense, de l’artiste brésilien. Et pu**** qu’est-ce que c’est beau ! De quoi vous faire fondre les rétines, au point qu’on en oublie totalement de lire les quelques phylactères qui se baladent sur ces œuvres d’art. Et c’est tant mieux ! Car la bédé, c’est avant tout un art avant d’être une manne financière pour les éditeurs, et ça n’est pas plus mal de le rappeler de temps en temps avec ce genre d’ouvrages. Y’a pas à dire, pour une artist edition, le contrat est respecté haut la main.
Après les luxueuses versions N & B des arcs cultes de Batman proposées par Urban Comics pour les 75 ans du Chevalier Noir et l’édition crayonnée du dernier arc de The Walking Dead chez Delcourt, c’est donc à Panini Comics de se lancer sur le marché de l’artist edition en France. Il faut croire que le concept a le vent en poupe en ce moment, et ce n’est pas pour nous déplaire. Si l’on peut regretter que l’intégralité du crossover de Jason Aaron et Mike Deodato Jr n’ait pas été adaptée sous cette forme, il faut quand même souligner la qualité du produit : un comics de 48 pages, cartonné, grand format (la taille d’un DELUXE), comprenant l’intégralité du premier épisode d’Original Sin (US) en noir et blanc et des bonus inédits (interview, article, la couverture inédite pour la France en étape par étape) pour la (modique) somme de 12,50 €. Finalement, c’est pas plus mal : le rapport qualité/prix est plus que correct et on savoure le tout comme un bon vin à une séance de dégustation. Juste ce qu’il faut pour marquer les esprits avec classe sans pour autant écœurer l’œil du néophyte. Un échantillon de luxe pour pas bien cher, en quelque sorte.
Notons enfin qu’une édition encore plus limitée (100 exemplaires) avec couverture N & B accompagnée d’un certificat d’authenticité et signée par l’artiste, vendue 40 €, est également prévue. Aucune date de sortie n’a cependant été communiquée pour l’instant et pour cause : l’éditeur aurait malencontreusement oublié de faire signer les volumes au principal intéressé lors de son passage à Angoulême. On ne va pas crier au péché originel, mais c’est quand même une belle boulette.
Mise a jour : Pour le coup c’est moi qui ai péché, l’artiste a bien signé les certificats d’authentification sur le stand Panini, la preuve en image. Plus que quelques semaines de patience pour mettre la main sur la version très limitée de cette édition limitée, donc, et toutes mes excuses!
Le Chevalier noir est le champion des voyages dans le temps réussis. Après les Medieval Batman et l’incroyable Batman maya, voici une figurine inattendue de Batman en version cowboy. Il ne manque plus qu’un bat-canasson pour aller avec ce magnifique chapeau aux oreilles pointues !
Réalisée par Square Enix, cette figurine fut conçue dans le cadre de la collection Play Arts Kai nommée « Batman Timeless« . Elle comprend notamment une version Spartan Batman, Victorian Batman et Medieval Batman. On peut dire que la figurine est plutôt réussie. Je ne savais pas que les cowboys utilisaient des haches de guerre. En tout cas, le design est très inspiré même s’il me semble important que Batman soit plus imposant physiquement. Il a plus l’air de Nightwing en fait. La date de sortie et les tarifs ne sont pas connus pour le moment. Patience…
Via Nerd Approved>
Les coques pour téléphone qui rendent les mobiles absolument impossibles à ranger dans une poche sont de plus en plus nombreuses. Parfois, c’est très vilain, mais d’autres fois, c’est sublime. C’est le cas, cette fois-ci, avec cette coque représentant la Batmobile issue des films de Tim Burton.
Réalisée par Bandaï, cette coque pour iPhone 6 coûte tout de même 50$. Honnêtement, elle les vaut. Les finitions sont splendides. Sachez, par ailleurs, que les feux de croisements et les pots d’échappement de la caisse de Batou font de la lumière. En plus, elle peut même sortir un batsignal de son cul, pour bien pourrir les yeux du conducteur de derrière. Comme si la batterie des smartphones n’était pas assez faible. La coque est tellement réussie qu’il y a même une vidéo de présentation. Un bon moyen de rayer son écran en jouant à la petite voiture…
Via Geekologie
En marge de la sortie du tome 22 de l’édition française de The Walking Dead, Delcourt édite également une édition spéciale des tomes 20 et 21 dans un volume unique. Nommé L’Ultime Combat, il regroupe les épisodes du comics de l’arc de Negan.
Si les fans de Walking Dead qui ont découvert l’univers à travers la série d’AMC sont nombreux, il est bon de rappeler qu’il s’agit avant toute chose d’un comics, publié aux Etats-Unis par Image. En France, c’est l’éditeur Delcourt qui propose la série en volumes à couverture souple, au rythme moyen de 2 tomes par an. Le décalage avec la publication américaine reste ainsi constant, à savoir environ une dizaine d’épisodes mensuels.
En France, c’est donc dans le tome sorti à la rentrée 2014 qu’on a pu découvrir la conclusion de l’arc All Out War, dans lequel Rick Grimes et sa bande s’allient avec différents groupes contre Negan, un tyran sanguinaire entouré d’une belle bande de psychopathes. Ce grand méchant, successeur du Gouverneur, s’est principalement imposé dans l’épisode 100 du comics, puisqu’il est responsable de la mort extrêmement choquante de l’un des personnages historiques de la série.
Ce sont les épisodes #115 à #126, soit le contenu des tomes 20 et 21 de l’édition française que Delcourt réédite sur le modèle de l’édition spéciale américaine d’Image Comics. Outre le fait qu’on peut y redécouvrir la totalité de l’arc dans un double volume hardcover, cette édition a également la particularité de proposer les crayonnés du dessinateur Charlie Adlard. Ici, pas d’encrage, et pas de couleurs sur la couverture : seules les bulles et le contours des cases tranche avec le travail brut du dessinateur britannique, qui a pris la relève de Tony Moore dès l’épisode 7 du comics, pour ne jamais le lâcher par la suite.
Walking Dead : l’Ultime Combat est un ouvrage de 272 pages qui bénéficie d’une conception de grande qualité, et qui met parfaitement en valeur le travail de Charlie Adlard, qui se révèle sous un autre jour avec cette édition. Il est particulièrement intéressant de découvrir sa manière très claire et nette de crayonner l’une des œuvres les plus emblématiques de ce siècle.
Un joli cadeau à se faire donc, tout en oubliant pas le tome 22 est également disponible depuis le 21 janvier, dans le format habituel, au prix de 15€.
Non, ce n’est pas un renard empaillé. Il s’agit d’un cosplay très réussi de Rocket Racoon, mon gardien de la galaxie préféré. Évidemment, le porteur du costume ne souffre pas de nanisme donc le résultat parait démesurément grand. Mais peu importe, ça en jette grave. Oh… yeah…
Cocorico ! Le costume a été réalisé pour la convention Anim’Est par les frenchies Shoko et Jérôme. On retrouve bien le côté bad ass du raton laveur cynique de Marvel, même si l’ensemble garde une texture « peluche ». On a à la fois envie de lui faire un câlin et pas envie de se retrouver face à lui. Il ne manque plus qu’un Groot géant pour aller avec et on aura une team parfaite !
Les super héros ont plus que jamais le vent en poupe. L’occasion d’offrir une vitrine à des personnages parfois méconnus, comme la mutante Squirrel Girl, la « fille-écureuil« . La babysitter de la fille de Luke Cage et Jessica Jones aura donc son propre comics, lancé en janvier sous le nom clinquant Unbeatable Squirrel Girl. Et ce n’est pas une pub pour la Caisse d’épargne !
Doreen Green a également fait partie de l’équipe des Vengeurs des grands lacs. Malgré son aspect et ses compétences improbables, Squirrel Girl est considérée comme l’un des personnages les plus puissants du Marvel Universe. Pour Unbeatable Squirrel Girl, le scenario sera réalisé par Ryan North, connu pour son travail sur Adventure Time. Le comics sera dessiné par Erica Henderson, dont vous pouvez observer les premiers artworks prometteurs ci-dessous. L’histoire devrait commencer avec l’entrée de Squirrel Girl à l’université… Prochaine étape : le caméo dans un film Marvel.
Via Nerd Approved
Un internaute a décidé de réaliser le mashup ultime en transformant les héros de Nintendo en super héros Marvel. Mario Iron Man, Link America et Pikachu Thor affrontent un Loki Waluigi dans des saynètes inspirées par le film Avengers et la licence Smash Bros.
La vidéo a été conçue par le YouTuber James Farr. On réalise que les caractères des héros de Nintendo collent plutôt bien à ceux de Marvel. Sauf pour Luigi qui se transforme en un Hulk moustachu bien bad ass. Mentions spéciales pour le Nick Kurby et Kid Hawkarus. Dommage que Samus ne soit pas Black Widow. En tout cas, on en veut plus !
Via Nerd Approved
Voilà un objet super classe à posséder, pour peu que l’on soit super fan des Gardiens de la galaxie et qu’on dispose aussi d’une super platine pour lire le super disque. Le prix peut sembler super cher mais quand on aime super beaucoup…
Comptez 50$ pour l’article en lui-même, auxquels il faut rajouter 25$ de frais de port. A noter que chaque disque est accompagné d’un poster tiré au hasard parmi les 9 petites œuvres d’art de Tyler Stout visibles ci-dessous.
Les précommandes sont ouvertes dès à présent et les livraisons seront honorées début 2015.
via Nerdcore
Après une dure journée de labeur passée à combattre le crime, ou l’ennui, rien de tel que de rentrer chez soi et glisser ses petits pétons fatigués dans une confortable paire de pantoufles. En plus, grâce à ces chaussons en forme de batmobile, on peut désormais se relaxer sans avoir l’air ridicule.
Il faut dire que ces pantoufles ont fier allure. Elles reprennent la Batmobile issu du premier film Batman de Tim Burton, sorti en 1989. On peut tout de même être assez déçu de la couleur grisâtre des pantoufles. Batman n’est pas le Chevalier Gris, enfin sauf dans The Dark Knight Returns bien sûr. Dommage aussi que les roues de la batmobile ne permettent pas de faire du roller dans notre salon, comme les petites baskets à roulettes que les jeunes freluquets arboraient fièrement il n’y a pas si longtemps.
Si vous souhaitez tout de même investir dans ces pantoufles, vous devrez débourser 15,60$, ce qui est loin d’être excessif. Tant mieux !
Via Geekologie
Il est fréquent de voir des super héros « contemporains » transportés dans d’autres époques. Ainsi, on a vu défiler pas mal de Batmans médiévaux, japonais ou steampunk, mais nous n’avions encore jamais vu de Batman maya. Préparez le sacrifice humain pour le dieu chauve-souris !
Dans le cadre du 75e anniversaire du Chevalier Noir, Warner Home Entertainment Mexico et le Musée du design mexicain ont demandé à 30 artistes de créer une oeuvre représentant Batman, tout en valorisant l’art mexicain. Un challenge paraissant insurmontable, tant ces deux univers semblent éloignés. Et pourtant, l’artiste Kimball l’a relevé avec brio en proposant cette armure de Batman inspirée par le dieu Maya Camazotz, qui est… un dieu au corps humain et à la tête de chauve-souris. D’après Wikipédia, Camazotz est associé à la nuit, à la mort et au sacrifice. Parfait pour notre petit batou !
Reste à trouver d’autres gadget qu’un poignard sacrificiel et une sarbacane.
Via Nerd Approved